« Le sujet de l’étude est inspirant, compte tenu du contexte social actuel qui accélère le temps et en réduit son expérience à des fragments indistincts et dénués de sens global. Cette exploration a l’audace de la lenteur. Elle souligne par l’expérience du voyage, l’importance de la rencontre entre soi et l’Autre que cet autre soit un humain, la nature ou le monde des idées. Solidement ancrée, cette étude riche et toute en retenue permet d’explorer avec finesse et élégance l’expérience transformatrice qu’est le voyage au voyageur ouvert, curieux et vibrant à la beauté du monde. D’une certaine manière, cette étude révèle les profondeurs de l’expérience tout en montrant en quoi elle constitue une très riche source de sens. La recherche est menée avec rigueur, elle permet d’éclairer à la fois l’appel de l’inconnu, la quête de soi, la rencontre et l’épreuve de l’altérité, les sensations, les émotions, les apprentissages, les révélations et l’évolution de la conscience des voyageurs. Comme l’auteur le relate : "Ce que l’on risque révèle ce que l’on vaut" et, sur cette base, il faut reconnaître l’ambition de cette recherche et la maîtrise de l’auteur pour la mener à bien. »  2010-04-21.

ISABELLE MAHY, Professeure à la faculté de communication de l’UQAM [communication organisationnelle].

 

« L’originalité et la pertinence du thème de travail s’avèrent remarquables et attirent d’emblée l’intérêt de tout lecteur, passionné des croisements entre philosophie, esthétisme et voyage. L’auteur développe avec persuasion la composante de communication interpersonnelle et interculturelle et son entendement de la "trajectoire phénoménologique de la psychologie humaniste". Outre la clarté communicative, il faut saluer avec vigueur l’ampleur de l’effort intellectuel et de l’engagement personnel de l’auteur. Cette dernière en témoigne manifestement, et par delà, de la maturité et de la maturation. Le nombre d’auteurs convoqués est impressionnant, traduisant l’érudition d’Éric Bourdeilh. »  2010-02-08.

LUCE DES AULNIERS, Professeure à la faculté de communication de l’UQAM [anthropologie, ethnologie]. 

 

« Cette recherche est un véritable voyage, un voyage de connaissance, une aventure de découverte. Voyage comme quête, rencontre, tension culturelle, doutes et remises en question. Voyage initiatique, voyage au bout, non pas de la nuit, mais au bout de soi-même. Se perdre pour mieux se retrouver. Voici comment je résume son histoire. La recherche m’apparaît comme un feuilleton en série, une symphonie qui reprend en plusieurs tonalités le thème principal. La "narration" s’apparente à une suite de voyages à des niveaux différents : niveau personnel, problématique, contextuel, théorique, terrain. Combinant le rationalisme structurant et la poésie de la recherche, ce travail témoigne d’une aventure existentielle singulière. »  2010-02-08.

GINA STOICIU, Professeure à la faculté de communication de l’UQAM [relations interculturelles]. 

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