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Cadre de pratique

• Porter attention aux besoins et aux enjeux du présent, aux intuitions, 

  aspirations et motivations, plutôt qu’aux problèmes et préoccupations

• Se concentrer sur les singularités qui se lient, s’associent et s’intègrent,

  sur les différences qui se complètent, sur la diversité qui fait synergie,

  sur les initiatives solidaires et les pratiques de coopération créative

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> Apprentissage de la coopération et formation à l’écologie relationnelle

> Modèle intégral de développement humain [cadre théorico-pratique]

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• [1] MILIEUX ÉDUCATIFS : écoles, collèges, lycées, universités...

  Appréhender les diverses formes de relations humaines, 

  ouvrir les perceptions, s’associer, coopérer et concilier 

  > Apprentissage de la coopération dès l’enfance

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• [2] ORGANISATIONS : collectivités, associations, entreprises...

  Accroître la vitalité de l’organisation, faire émerger une vision 

  commune, développer l’intelligence collective et la créativité

  > Formation à la coopération intégrative et synergique

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Ouvrir et assouplir l’esprit, faire sens, croire en soi, en le groupe et en l’avenir

• Se réapproprier le sens de l’initiative, de la co-opération et de la co-innovation

• Explorer le champ des possibles, puis s’aventurer dans une voie de résilience

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• Déroulement type des ateliers participatifs :

   opportunités de pratique et situations de partage

• Conditions de participation et prérequis aux ateliers

• Méthodes de conduite d’atelier : Forum ouvert et World café

• Organisation et animation de jeux gagnant-gagnant et expériences

   coopératives : jeux de co-perception, de co-opération, d’éco-création...

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SUR QUOI

[focus +++]

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POUR QUI

[formules]

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POURQUOI

[objectifs]

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COMMENT

[méthode

et jeux]

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[1]  Apprentissage de la coopération au sein des milieux éducatifs

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Dans un cadre pédagogique et expérientiel, le but des ateliers est de faciliter l’apprentissage

des relations humaines, de la solidarité et de la coopération. En effet, « Les jeunes abordent

l’âge adulte sans avoir la moindre notion de ce que peuvent être les interactions humaines

et personnelles, sans la moindre expérience d’une communication interpersonnelle

véritablement partagée. Notre système d’éducation vise surtout à préparer les

individus à vivre isolés dans des cages. » [ Carl Rogers, psychologue, 1974 ].

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Dans cette perspective éducative, les ateliers seront encadrés

et les jeunes seront guidés, de façon à permettre l’apprentissage d’une

« communication interpersonnelle véritablement partagée », cest-à-dire dune

coopération qui se déploie dans un sens donnant-donnant* et gagnant-gagnant.

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[* Donner sans attendre en retour. Etre généreux avec mesure et tempérance : sans don excessif

et sans se laisser abuser. Partageons ce que nous avons de meilleur et l’univers nous le rendra].

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Ainsi se construit et s’anime progressivement une forme d’écologie relationnelle.

Ainsi se manifestent et s’exercent les potentiels du Soi à travers la relation à l’Autre,

à travers la découverte sensible du monde et dans un jeu éprouvé entre soi et autrui.

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Une pédagogie inductive sera privilégiée. Alors que la pédagogie déductive consiste

à expliquer les concepts aux élèves qui doivent les assimiler, la pédagogie inductive

implique de laisser l’élève faire l’essentiel du travail d’apprentissage par lui-même :

« Qui cherche, fait l’effort ». En ce sens, le rôle de l’éducation intégrale est de porter

au maximum le développement des facultés de l’enfant et son épanouissement.

En marge du système d’éducation nationale qui tend à conformer et conditionner

les élèves, cette forme d’éducation tend à favoriser l’autonomie et l’émancipation.

 

Les énergies positives en présence, qualités personnelles et capacités de coopération

des participants [enfants, élèves, étudiants, apprentis...] seront valorisées et stimulées.

Elles seront mises à l’épreuve et déployées à travers l’expérience de jeux coopératifs.

+ Atelier pédagogique sur les enjeux de transition et les pratiques socio-écologiques.

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Focus positif : Lattention et la concentration portent, premièrement et assidûment,

sur le développement des potentiels à la fois individuels et collectifs, c’est-à-dire 

sur lassociation, la coopération et la conciliation des diverses valeurs et visions,

des aspirations, intentions et actions de chaque participant... et cela en accord

avec les conditions de vie écosystémiques : lois fondamentales de la nature

et du vivant, dynamiques de résilience et cycles de régénération, etc.

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[2]  Pratique de la coopération dans les organisations

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Collectivités, associations, entreprises... nos organisations humaines

sont sous pression, comme le sont nos territoires et nos cadres de vie.

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D’où le besoin de formations à la coopération intégrative et synergique.

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En ce début de 21ème siècle, la pression se fait plus forte sur les entreprises

et leurs employés. Parfois, cette pression devient si lourde que nous assistons

à des drames qui font la une de l’actualité : dépressions, burn-out voire suicides,

conflits organisationnels, surendettements, faillites d’entreprises, crises familiales...

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Ces situations soulèvent des questionnements et invitent à des remaniements :

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• Comment les organisations font-elles face aux pressions, aux tensions et injustices sociales ?

• Comment font-elles pour évacuer le stress de leurs employés, de leurs associés et partenaires ?

• Vers quelles méthodes devient-il alors pertinent de se tourner pour rétablir un bien-être au travail ?

• Dans la relation entre les employés et les dirigeants, comment passer de la méfiance à la confiance ?

• Comment parvenir à réconcilier les individus et assainir les relations ? En d’autres termes, par l’usage

  de quelles approches organisationnelles, tendre vers une collaboration saine, équitable et vertueuse?

• Comment construire une vision commune et développer durablement les activités professionnelles ?

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Les ateliers de coopération et d’intelligence collective ont pour visée d’amener l’organisation :

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• à élaborer de nouveaux modèles de collaboration, d’orientation stratégique et d’innovation sociale,

• à devenir une organisation plus participative : qui associe les employés aux prises de décisions,

  qui valorise et qui canalise les motivations et les initiatives, qui investit sur le bien-être au travail, 

  pour fédérer et unifier, pour coordonner, concilier et intégrer les contributions de toutes et tous,

  pour converger vers plus de réactivité et de synergie, vers plus de résilience et d’équilibre.

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En d’autres termes, il s’agit d’intégrer une écologie relationnelle dans les organisations.

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> >  Ateliers déjà réalisés  Ë‚ Ë‚

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